Gkinggeng Gkôhgkinggeng

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Gkinggeng Gkôhgkinggeng (parfois écrit plus simplement Kingeng Kokingeng), est un artiste et homme politique singapourien né en 1972 à Singapour.

Il est nommé premier ministre de ce pays en 2015, avant d’être élu président de la République de Singapour en 2020.

Après avoir étudié à l’université de Hong Kong, il obtient un poste de banquier national en 2007.

Il participe à la campagne électorale de Bangka Sariwak en 2015.

Son mandat en tant que premier ministre est marqué par la publication d’une loi sur les fausses informations  en 2018.

Situation Personnelle

Arrière petit-fils de Gkinggeng Tâhâl, petit-fils de Gking Gkôhgkinggeng et fils de Geng Gkôhgkinggeng, Gkinggeng Gkôhgkinggeng est élevé dans un milieu bourgeois. Son père, commerçant, lui apporte une bonne éducation.

Etymologie

Selon la plupart des sources, Gkinggeng signifierait “Roi des bandits”, ou encore “prince des méchants”. Le nom de famille, Gkôhgkinggeng, signifierait donc “Fils du roi des bandits” (Gkôh signifie “fils”).

Certains opposants au régime ont profité de son nom pour tenter de ridiculiser Gkôhgkinggeng. En effet, Kgôh faisant allusion à la mort, il ne faut pas confondre son nom avec Kgôhgkinggeng, qui signifierait “mort au roi des bandits”

Ligne politique

Positionnement

Gkinggeng Gkôhgkinggeng est souvent qualifié de républico-démocrate, mais ses idées reflètent différents bords politiques.

En 2015, il est premier ministre sous le nom de Parti démocrate pour la liberté, puis le parti est rebaptisé Union républicaine.

Economie et social

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Polémiques

Truquage des élections

Selon certaines sources, près de 5000 bulletins auraient été remplacés durant l’élection présidentielle de 2015.

Ce chiffre pourrait s’élever à 15000 en 2020. Le nombre de bulletins de vote ayant alors dépassé le nombre d’habitants en âge de voter, on estime que le truquage est une certitude.

Cependant, Gkôhgkinggeng nie énergiquement toute fraude lors de l’élection.

Attitude non-sportive

Lors de la coupe du monde de football de 2018, Gkôhgkinggeng s’est distingué par des insultes et propos non-sportifs vis-à-vis des équipes de Croatie, Brésil et Espagne.

Art

Avant d’être un homme politique, Gkôgkinggeng pensait faire de l’art son métier. Doué d’un talent inné de dessinateur et peintre, il a notamment réalisé une trentaine d’autoportraits, réunis dans un seul et même ouvrage : Je suis. Ce recueil de dessins et peintures contient notamment le fameux Pour la Liberté, ou The Gkinggeng.

Mais son tableau le plus célèbre reste Ce que nous sommes, un tableau représentant une pomme avec un drapeau du Singapour planté à l’intérieur.

Publications

En 2021, il publie un essai : Singapour, patrie de la liberté. Dans cet essai, il prône le régime en place.

L’ONU dénonce cette publication, parlant même “d’ouvrage de propagande”.