Discussion utilisateur:Acouelle10
Sujets
Titre du fil | Réponses | Dernière modification |
---|---|---|
Bienvenue Acouelle10 ! | 1 | 7 février 2015 à 15:03 |
Bienvenue Acouelle10 !
Bienvenue à toi !
Au nom de tous les wikiminautes, je te souhaite la bienvenue sur et te remercie pour ton inscription !
Ceci est ta page de discussion. Les autres wikiminautes pourront y laisser des messages s'ils ont besoin de te parler.
Sur Wikimini, tout le monde peut améliorer le contenu de l'encyclopédie. Alors n'hésite pas à compléter, corriger ou créer des articles sur les sujets qui t'intéressent ! → Idées pour participer · (idées pour les adultes).
Si tu es perdu(e), commence par lire les pages d'aide. Tu peux aussi poser des questions dans le forum de discussion. Et n'oublie pas que tu peux compléter ta page personnelle pour te présenter !
Merci pour ta participation et à bientôt !
PS: J'ai supprimé ton article intitulé Médecine durant l'Antiquité romaine car il y a déjà un autre article intitulé Médecine de la Rome antique. Je te copie ton texte ci-après pour que tu puisses utiliser certains éléments pour compléter ou améliorer l'autre article.
Bonne continuation et voici ton texte :
<u>1Intro</u><br><u>d'où vient-elle,</u><br>1La médecine de Rome hérite directement de la médecine Grecque.<br>Le médecin était si important que, en 46 av. J.-C., Jules César accorde la citoyenneté romaine aux médecins étrangers travaillant à Rome.<br> Contrairement à la société grecque qui considérait que la santé était une affaire personnelle, le gouvernement romain encourageait l’amélioration de la santé publique. Un homme frappé d’un mal subit pouvait se faire porter dans l’officine du médecin public. Il est possible que les malades pauvres y fussent nourris gratuitement. Donc une médecine publique existait et la ville était saine par la construction d’aqueducs pour amener l’eau dans les villes, la construction de bains publics et de réseaux d’évacuation des eaux usées. Rome se vantait de posséder un système d'égouts performant, ce qui se fera de mieux en occident jusqu'à la fin des 17e et 18e siècles.
2Le rapport à la religion.<br> 2Les médecins utilisaient des techniques variées faisant appel à différents instruments et pratiquaient, comme les grecs, divers rituels religieux pour obtenir la guérison, car ils croyaient à l’origine surnaturelle de nombreuses maladies. Les Romains comme les Grecs avaient des temples de guérison mais chez eux la croyance religieuse avait une place réduite.
<br>
<br><u>3Qui la pratiquait et où</u><br>Ils avaient développé des hôpitaux qui permettaient aux patients de se reposer pleinement et de se détendre pour récupérer complètement. En séjournant dans les hôpitaux, les médecins prirent l’habitude d'observer la maladie plutôt que de compter sur le surnaturel pour la guérir.Grâce à ce développement de la médecine, les maladies diminuent chez les Romains. Les médecins militaires accompagnent les armées pour soigner les blessures de guerre. La plupart de ces médecins établis à Rome étaient des esclaves ou des affranchis. De nombreuses inscriptions mentionnent les esclaves attachés aux grandes maisons, surtout à la maison impériale. Certains médecins étaient même des esclaves publics.<br>Les médecins privés ou publics résidant dans une ville avait toujours un cabinet de consultation, mais souvent aussi une installation plus complète qui comprenait les éléments suivants : la demeure du médecin, de sa famille, de ses auxiliaires et de ses esclaves ; une pharmacie ; une salle d’opérations ; une salle de consultation ; une ou plusieurs chambres pour recevoir des malades et les hospitaliser avant ou après une opération, ou pendant le cours d’une maladie et le début de la convalescences. L’ensemble de cette installation était appelé taberna medica, medicina. Les maisons de santé étaient tantôt la propriété des villes et dirigés par le médecin public, tantôt celle des médecins qui exerçaient pour leur compte. L’institution en était fort ancienne ; il y avait sans doute des maisons de santé publics antérieurement à Hippocrate, car on ne peut imaginer qu’une ville ait appelé un médecin si elle n’avait n'avait ni un endroit ni le matériel pour qu'il officie. La construction des lieux où officiaient les médecins était très étudiée. <br>
<u>4les outils</u><br>La salle d’opérations était pourvue de toute espèces d’instruments (pyava), appareils fixes (tels que le banc d’Hippocrate ) pour réduire les luxations, sièges, baignoires, vases, bassins,couteaux, bistouris, ventouses, cautères, scalpels, seringues, sondes pour les oreilles, arrache-dents, trépans, outils pour couper la luette, bandes, compresses, coffrets à onguents, etc.<br> Les instruments devaient tous être en bronze, les serviettes et les éponges parfaitement propres et molles au toucher, l’eau à boire d’une pureté irréprochables. Les médicaments simples ou composés se préparaient dans la pharmacie attenante : les aides du médecin les vendaient pour être emportés ou les administraient sur place.<br>Les chirurgiens romains disposaient d’une trousse à outils contenant des pinces, des scalpels, des cathéters et des extracteurs de flèche. Ces instruments étaient désinfectés avant chaque utilisation en les faisant bouillir. Pour les interventions, les chirurgiens utilisaient des analgésiques comme l’opium et la scopolamine et lavaient les plaies à l’acide acétique (l'acide du vinaigre).Les chirurgiens romains utilisent un crochet de bronze pour écarter les tissus lors d'une opération. Le crochet maintient les vaisseaux sanguins et les muscles, ce qui permet au médecin de mieux voir la zone à opérer. Les Romains se servent également de scalpels comme lors d'opérations chirurgicales
<br>
<br>
<br>
<u>6connaissances et techniques</u><br>La médecine de l’époque pouvait s'avérer efficace lorsqu'elle était pratiquée par des maîtres bien formés et pratiquant parfois des spécialités comme l’ophtalmologie et l’urologie. Une chose étonnante est que les romains avaient en tête que le fait d'avoir des égouts assainissait la mais ne connaissait pas les microbes et les germes. Ce soucis de l'hygiène de l'eau était très fort. On peut admirer encore aujourd'hui les exemples des aqueducs à la fois beaux et gigantesques qu'ils construisirent pour amener l'eau des montagnes vers leurs villes. Les conduits étant hélas souvent faits de plomb, on pense que les Romains ont été victimes de graves intoxications par l'eau en dépit de tous leurs efforts pour purifier cette dernière. Ils étaient pourtant avertis des dangers que présentait le plomb, puisqu'ils déconseillaient aux belles romaines l'usage d'un certain cosmétique fabriqué à partir de ce métal.<br>Les Romains allaient régulièrement aux bains publics, que l'on appelait également thermes. Les villes, et même les bases militaires de l'Empire, possédaient des bains. Les Romains s'y lavaient et y retrouvaient des amis. Certains faisaient de l'exercice, jouaient au ballon ou faisaient des affaires. Les thermes comprenaient des salles de gymnastique, des jardins, des salles de réunion, des vestiaires, des saunas, divers bassins et des bibliothèques et l'entrée était gratuite. Les esclaves y massaient, épilaient ou lavaient leurs clients en grattant avec des racloirs appelés strigiles leurs corps enduits d'huile. Les Romains avaient aussi des latrines publiques. L'eau y coulait en permanence par une rigole, entraînant les déchets dans un égout. Elles étaient utilisées par les habitants des immeubles, qui n'avaient pas de toilettes chez eux. Plusieurs personnes pouvaient s'installer en même temps sur des bancs de pierre percés de trous.<br> Les Romains enlèvent les maladies cutanées par des ventouses. Une compresse enflammée est placée dans une cloche de verre que le médecin presse contre la peau sur une blessure ouverte ou une incision chirurgicale. Une fois l'oxygène brûlé, le vide créé dans la ventouse aspire les parties des maladies. Il nous est parvenu plusieurs traités médicaux qui donnent un bon aperçu des connaissances et des pratiques de l'époque. Claudius, un grand médecin, développe l'anatomie en disséquant des animaux ; il montre aussi que le sang circule grâce aux battements du cœur. Cornélius Celsus, écrit lui une histoire de la médecine à laquelle de nombreux médecins se rapportent, jusqu'en 1400.
<br><u>7L'héritage</u><br>Non seulement les outils et les méthodes de médecine sont encore utilisés de nos jours, mais nous avons aussi conservé différentes expressions du vocabulaire médical :<br>• Le mot tibia vient du latin tibia qui veut dire jambe.<br>• Le mot clavicule vient du mot latin clavicula qui veut dire petite clé<br>• Le mot fémur vient du mot latin femur qui veut dire cuisse<br>• Le mot potion vient du mot latin potio qui veut dire boisson<br>• Le mot opération vient du mot latin opera qui veut dire travail physique<br>• Le mot angine vient du mot latin ango qui veut dire serrer, s'étrangler<br>• Le mot fracture vient du mot latin frango qui veut dire casser
<br>Le serment d'Hippocrate qui resta inchangé jusqu'en 1996!!<br><br>