Charles Perrault

Charles Perrault est un auteur français du XVIIème siècle, né le 12 janvier 1628 à Paris et mort à l’age de 75 ans, dans la meme ville, le 16 mai 1703. Il est très connu pour ses nombreux contes encore racontés de nos jours, comme par exemple Le Petit Chaperon rouge ou Cendrillon.

Biographie

Charles Perrault est né dans une famille bourgeoise venant de Tours, une ville de France. C'est le cadet d'une famille de sept enfants, ses parents sont Paquette de Clerc et Pierre Perrault. Il fait des études littéraires au collège de Beauvais à Paris. Il se passionne pour les textes sacrés et l'histoire de France. Il devient avocat en 1651, mais ce métier l'ennuie.

Plus tard, en 1663, il est chargé par Colbert, ministre de Louis XIV, de la politique artistique et littéraire. Il aide les auteurs à recevoir des pensions importantes et entre à l'Académie française. Il écrit des textes parodiques et des poèmes.

A la mort de sa femme il se consacre à l'éducation de ses enfants et s'intéresse aux contes.

C'est dans les dernières années de sa vie qu'il publie les contes qui l'on rendu célèbre jusqu'à nos jours :

1693 : Les Souhaits ridicules.

1697 : Il publie son premier recueil de huit contes en prose Les Contes de la mère l'Oye.

Le conteur

La plupart des contes écrits par Charles Perrault sont encore connus aujourd'hui comme il les avait racontés. Pourtant, ces contes ne viennent pas de son imagination, ce sont des contes que l'on racontait, et qu'il a choisis d'écrire.

La plupart de ses contes sont destinés aux enfants, mais il en existe pour les adultes, qu'on appelle aussi nouvelles.

La morale

Les contes de Charles Perrault, et tous les contes en général ont une morale. Le but est d'apprendre aux enfants les dangers qui les entourent, et comment bien se comporter.

On retrouve souvent un gentil personnage, en général un enfant, confronté à de méchants personnages, qui sont souvent très forts et mauvais. Les contes de Charles Perrault ont pratiquement toujours une bonne fin, il montre que les personnes gentilles s'en sortent toujours. Souvent, c'est donc la victoire du bien contre le mal !