Fée Morgane : Différence entre versions
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Elle poursuivit sa formation sur l'île d'[[Avalon|Avalon]] avec l'aide de la grande prêtresse [[Fée Viviane|Viviane]]. Elle maitrisa vite l'art des plantes aromatiques et médicinales, ce qui lui valut une réputation malsaine de "sorcière". Seul son caractère peut nous dire si elle agit pour le bien ou le mal!<br> |
Elle poursuivit sa formation sur l'île d'[[Avalon|Avalon]] avec l'aide de la grande prêtresse [[Fée Viviane|Viviane]]. Elle maitrisa vite l'art des plantes aromatiques et médicinales, ce qui lui valut une réputation malsaine de "sorcière". Seul son caractère peut nous dire si elle agit pour le bien ou le mal!<br> |
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== Références == |
== Références == |
Version du 28 janvier 2009 à 18:44
La fée Morgane, ou Fata Morgana, est un personnage de la légende arthurienne (ou cycle arthurien) dans laquelle elle est magicienne et, selon les légendes, la demi-sœur ou la sœur, généralement considérée méchante et maléfique, du roi Arthur.Son personnage change selon les récits et les auteurs. Elle est à la fois femme, savante, fée sylvestre, nymphe des vagues et sorcière.
Légende
Fille de Gorlois, duc des Cornouailles, et d'Ygraine, elle fut élevée par son beau-père Uther Pendragon (père du roi Arthur). Elle fut initiée très tôt aux lettres et à l'écriture et devint habile en toutes sciences, dans les sept arts, et surtout en médecine, en astronomie et en ingromancie enseignée par Merlin l'Enchanteur. Ce vieil homme, bien qu'il l'agaçât, reconnaissait en elle une élève douée mais qui malheureusement se laissait trop souvent guidée par ses passions.
Elle poursuivit sa formation sur l'île d'Avalon avec l'aide de la grande prêtresse Viviane. Elle maitrisa vite l'art des plantes aromatiques et médicinales, ce qui lui valut une réputation malsaine de "sorcière". Seul son caractère peut nous dire si elle agit pour le bien ou le mal!
La mythologie celtique dit de la fameuse enchanteresse qu'elle pouvait commander les vents ou les flots et prédire l'avenir. Dans la Vie de Merlin (1150), écrit par Geoffroy de Monmouth, elle recueillit le roi Arthur blessé après sa défaite, le guérit et le garda près d'elle.
Références
- Capard, Juilette. La littérature arthurienne. Consulté le 28 janvier 2009.