Article sur François Ravaillac
Tu as écrit un premier article sur François Ravaillac, avec un texte fait en copier-coller depuis Wikipedia. Ceci n'est pas souhaitable dans Wikimini. Je te propose de reprendre l'article et de le formuler avec tes propres mots.
Aussi, au lieu de faire un deuxième article nommé La suite ..., ce serait mieux d'intégrer le texte dans l'article principal, toujours de préférence avec tes propres mots.
J'efface ce deuxième article et te copie ton (?) texte ci-après :
Vers 16h15, la charette est bloquée par un encombrement. C'est une charette de foin. Les gardes s'affairent d'éloigner la foule qui avait reconnue le carrosse royal. Ravaillac en profite.....!!!!! Il pose un pied sur le rayon de la roue arrière, et l'autre pied sur un montoir puis......puis......IL SE JETTE SUR LE ROI!!!!! Le premier coup de couteau de ravaillac se situe tout près de l'aisselle qui est sans grand dommage et qui n'est pas mortelle. Le roi hurle: JE SUIS BLESSé....!!JE SUIS BLESSé....! Un second l'atteint au poumon droit sectionnant Veine cave et aorte. Le roi murmure: Ce n'est rien....Ce n'est rien....Et le dernier perce la manche d'un des ducs qui était avec lui. Ravaillac ne cherche pas s'enfuir, le duc d'epernon l'amène à l'hôtel de Retz.
J'efface également ton 3e article Le supplice ..... sur le sujet et je te copie ci-après le texte (toutefois sans tes pensées ajoutées à la fin du texte, car je pense qu'un article d'encyclopédie n'est pas l'endroit approprié pour exprimer ses sentiments.
Voici ton texte dont tu peux ajouter des éléments (pas de copier-coller) dans l'article principal :
Le supplice de cet assasin... Ravaillac est mort le 27 mai 1610 écartelé par quatre chevaux. Aussitot qu'il fut mort, le bourreau ayant pris tous les membres de Ravaillac voulut les jetés au feu. Mais le peuple se rua sur les membres de ravaillac, les emportèrent chez eux pour les faire bruler. Avant sa mort, Ravaillac a été torturé pour savoir si il avait des complices mais il ne dit rien. Il eu les jambes brisées par l'application des brodequins. Puis, pendant une heure le bourreau versa dans ses plaies ouvertes par des tenailles rougies au feu du plomb, du souffre liquéfié et des résines brulantes. Ensuite, il a été écartelé et le coup de hache après l'écartelement fut mortel.