Marie Stuart
Marie Stuart (Marie Ière d'Écosse ou bien Mary, queen of Scots)
Fille de Marie De Guise et de Jacques V d'Écosse, née le 7 décembre 1542, Marie Stuart est le troisième enfant de la famille, mais ses deux grands frères sont morts peu de temps après leur naissance. Le 13 décembre, Jacques V décède du choléra, et son décès place de fait Marie Stuart sur le trône d’Écosse, à six jours.
La jeune reine est menacée par les anglais, sa mère, décide donc de l'envoyer au couvent pour sa sécurité. La-bas, on tente de l'empoisonner. Donc, Marie De Guise souhaite que sa fille soit en sûreté. Elle est donc envoyée en France pour être mariée à Francois II, le futur roi de du pays. A 15 ans, elle devient reine de France et se marie avec le dauphin. Mais Francois II, son nouveau mari, est trop faible et frêle pour gouverner, il confie donc son pouvoir à son oncle et sa mère (Catherine de Médicis). Il décède en 1560. Marie Stuart est folle de douleur, elle se retire donc en Ecosse pour porter le deuil. En 1561, Marie arrive dans son pays natal qu'elle ne connait presque pas. Son royaume est dévasté, entre guerres de religions et famines. Pour survivre, elle épouse son cousin, Henry Stuart (connu aussi sous le nom de Lord Darnley) avec qui elle aura un fils nommé Jacques. Elle est très contente de vivre avec un homme qu'elle apprécie beaucoup. Pourtant, son bonheur est de courte duré car son nouveau mari est retrouvé mort étranglé. Sa réputation est donc mis a l'épreuve. Voulant demander de l'aide à sa cousine, Elisabeth (fille de Henri VIII et de Anne Boleyn). Mais celle-ci à peur que Marie lui vole son trône. Elle l'emprisonne alors dans son palais, en Angleterre. Marie se met donc a détester sa cousine. Elisabeth veut détruire cette reine d'Ecosse. Elle organise alors un complot contre Marie Stuart. Celle-ci tombe dans le piège et est condamnée à mort le 8 février 1857.
Le jour de son exécution, Marie Stuart choisit de porter une robe rouge, se proclamant martyre catholique. L’exécution marque les esprits par son côté atroce : le bourreau, saoul, doit s’y reprendre à plusieurs fois avant de mettre un terme au calvaire de Marie.