La Révolution, l'Empire et la religion
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C'est principalement la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, adoptée le 26 août 1789, qui constituera un texte de référence, dans la mesure où il pose les fondements de la démocratie française moderne. Les prêtres et évêques deviennent des fonctionnaires: ils sont élus et payés par l'Etat.
Les Etats généraux ont été réunis par Louis XVI le 5 mai 1789 dans le but de trouver une solution à la crise financière qui place le royaume au bord de la faillite. L'assemblé a décrété à la majorité (548 voix contre 346) que tous les biens du clergé sont à la disposition de la Nation et à la charge du pouvoir, d'une manière convenable, les frais de cultes, l'entretien des ministres (prêtres) et soulagement des pauvres. La nationalisation aide donc le royaume à surmonter la crise financière.
Le clergé est contre la nationalisation, mais ceux qui sont réfractaires à cette idée sont considérés comme des ennemis de la Révolution, et sont pourchassés. Ils souhaitent rester fidèle au pape.
Le concordat voulu par l'empereur et négocié dès 1799, cela rend au christianisme une place dominante dans la société, le pape donne à l'évêque sa charge. Avant d'entrer en fonction ils prêterons serment de fidélité qui était d'usage avant le changement de gouvernement entre les mains du premier consul. Il assure aussi un traitement convenable aux évêques et aux curés.