Fernand Léger
Article à mettre en forme
Le texte qui suit a besoin de quelqu’un pour le mettre en forme. Il a peut-être besoin d’être mieux structuré, d’avoir des liens et d’être classé. Tu peux essayer de l’améliorer ou bien discuter des points à rectifier.
Tout le monde peut librement participer, alors merci de ton aide ! |
Exposé sur Fernand Léger
- Présentation de Fernand Léger
- Vie de Fernand Léger
- Oeuvres de Fernand Léger
- Mon oeuvre préférée
- Mes sources
- Quiz
- Présentation de Fernand Léger
Toute l’œuvre et les écrits de Fernand Léger font référence à la modernité, au point que cette thématique suffit souvent à le caractériser. Contemporain de Picasso et de Matisse, Fernand Léger est d’abord moderne par son appartenance à une époque riche d’innovations artistiques. Puis il célèbre la machine et la vie urbaine dans de nombreux tableaux. Mais à propos des thèmes qu’il traite, il déclare aussi : « Je ne sais pas ce que c’est un sujet ancien ou moderne ; je ne connais qu’une interprétation nouvelle et c’est tout » .
Ses œuvres sont pour la majorité des peintures à l’huile, alors que ses contemporains pratiquent le papier collé ou la photographie.
Fernand Léger se réfère sans cesse à la modernité et l’intègre à son travail. C’est ce qu’il traduit en peinture par ce qu’il appelle, au début des années 10, des « contrastes de formes » qui sont, non plus des « contrastes additionnels », mais des « contrastes multiplicatifs », où chaque élément pictural s’oppose à tous les autres. Ce qu’il applique dans une série d’une quarantaine de toiles.
Puis ce sont les contrastes dans le paysage urbain, créés par les affiches, les couleurs vives et la multiplication de signaux visuels et sonores qui, selon Léger, plaisent aussi bien à l’artiste d’avant-garde qu’aux gens du peuple.
Enfin, Fernand Léger construit ses toiles par contrastes entre les postures des personnages, entre les objets, entre les figures et les éléments abstraits, des contrastes simples que chacun peut observer au quotidien. Car, en dernier lieu, la modernité telle qu’il la conçoit est le révélateur d’un lien entre les hommes. Et le peintre moderne est celui qui renverse les traditions académiques convenues pour peindre dans un style universel ce lien universel.
Après cette introduction, je vous propose de parler de sa vie à travers sa biographie.
- Vie de Fernand Léger
Fernand Léger est né le 4 février 1881 à Argentan dans l’Orne. Il a vécu sous la Troisième République assistant à la succession à la présidence de 14 chefs d’état. Grâce au témoignage de son ami d’enfance, Louis Poughon, nous savons que sa mère l’a élevé seule, car son père décède lorsqu’il a quatre ans. De plus, elle est une femme très pieuse menant une existence tranquille. Son fils semble avoir été très différent d’elle. À l’école, « il ne fut jamais un élève studieux » et, après plusieurs renvois successifs car il dessine des caricatures de ses professeurs qui amusent beaucoup ses camarades, il entre comme apprenti chez un architecte d’Argentan.
Doué pour le dessin, il s’installe en 1900 à Paris où il fréquente l’École des Arts décoratifs et l’Académie Julian. Dans le quartier de Montparnasse – son atelier est d’abord avenue du Maine puis à la Ruche –, il pénètre le milieu artistique parisien et se lie d’amitié avec Robert Delaunay, Marc Chagall, Blaise Cendrars… À partir de 1910, le Cubisme, qui s’impose de plus en plus dans l’avant-garde artistique, le séduit à son tour et l’amène à rejoindre Albert Gleizes, Jean Metzinger, Henri Le Fauconnier et les frères Duchamp, fondateur du groupe de la Section d’or. Fort de ces rencontres et d’un premier contrat avec le marchand Daniel-Henry Kahnweiler, il participe à toute une série d’expositions à Paris, à Moscou et même à New York, à l’Armory Show en 1913. C’est la période de ses « Contrastes de formes » qui l’imposent dans l’avant-garde artistique.
Le mot cubisme veut dire : École d'art, qui, entre 1907 et 1914, se proposait de représenter les objets décomposés en éléments géométriques simples
Mais la guerre interrompt brutalement et pour quatre ans ces premiers succès. Envoyé sur le front comme sapeur réserviste, puis brancardier, il a conscience de perdre de précieuses années. Toutefois l’expérience qu’il vit, tant l’horreur de la guerre que la fraternité avec les autres soldats, le marque profondément et procure une force nouvelle à son œuvre. A son ami Poughon qui n’a pas fait la guerre, il écrit en effet : « Toi, tu vas rester un homme d’avant-guerre et ce sera ta punition, Louis, mon vieil ami, et moi, malgré mes 34 ans, malgré ma vie déjà commencée comme mon œuvre et que cette tragédie a cassé en deux. Je suis tout de même encore assez jeune, assez vivant pour être, moi aussi, si le Dieu de ma mère me le permet, pour être, tu entends, pour être de la grande génération d’après la guerre ! ».
En 1917, il signe un important contrat avec le galeriste Léonce Rosenberg. Réformé à la fin de cette même année, il entreprend de grandes peintures qui, de plus en plus, sont influencées par le thème de la modernité. Les collaborations se multiplient : avec Rolf de Maré, fondateur des Ballets suédois, pour les décors et costumes d’un ballet, avec Robert Mallet-Stevens et Marcel L’Herbier pour les décors du film L’Inhumaine, ou avec Dudley Murphy pour le film Ballet mécanique. En 1933, il participe au Congrès international des architectes modernes en compagnie de Le Corbusier qu’il fréquente depuis quelques années.
Avec l’arrivée du Front populaire, son engagement politique se manifeste à travers des conférences et de grandes peintures murales où il réalise son rêve de concilier l’avant-garde et l’art populaire. Mais la guerre interrompt de nouveau son travail. En 1940, il s’installe à New York. La ville moderne lui inspire ses dernières grandes compositions. De retour en France au début de l’année 46, encore très actif, il se consacre notamment à des travaux monumentaux, comme les vitraux de l’Église d’Audincourt, dans le Doubs.
Trois ans avant sa mort, il épouse la peintre biélorusse Nadia Khodossievitch.
Il meurt le 17 août 1955 à 74 ans, à Gif-sur-Yvette.
Cinq ans après sa mort, en 1960, ses héritiers inaugurent à Biot le Musée Fernand Léger.
- Oeuvres de Fernand Léger
Fernand Léger a peint de nombreux tableaux dont :
- Le Passage à niveau
- Les Toits de Paris
- Le Réveil-matin
- Paysage
- Soldats jouant aux cartes
- Trois Femmes et nature mortes
- Le Mécanicien
- Femme au bouquet
- Charlot cubiste
- La Joconde aux clefs
- Composition avec des troncs d’arbres
- Adieu New-York
- Les Constructeurs, état définitif
- Deux papillons jaunes sur une échelle
- La Partie de campagne
Fernand Léger a sculpté plusieurs oeuvres dont :
- La Grande Fleur qui marche
- Le Jardin d’Enfants
- La Fleur polychrome (le Grand Tournesol)
- Le Grand Coq
Fernand Léger a réalisé deux films :
- Ballet Mécanique (1924)
- Léger en Amérique (1946)
- Mon oeuvre préférée
Mon œuvre préféré est celle de la grande fleur qui marche car je trouve qu’elle est bien faite, que les couleurs sont belles et aussi que c’est impressionnant de voir marcher une fleur géante.
- Mes sources
Mes sources Internet sont les sites :
- wikipedia
- passion estampes
Ma source bibliographique est le livre :
- F.LEGER de Gilles NÉRET (Nouvelles Editions Françaises, 1990)
- Quiz
Quiz
- Comment s’appelle la femme de Fernand Léger ?
- En quelle année Fernand Léger est né ?
- En quelle année Fernand Léger est mort ?
- Nadia Khodossievitch.
- 1881
- 1955